Réchauffement climatique, guerre en Ukraine… De plus en plus de Français cessent volontairement de suivre l’actualité, jugée trop anxiogène ou pas assez accessible. Nous avons interrogé trois d’entre eux pour mieux comprendre leur décision.
C’est surtout que je pars du principe qu’il faut être positif pour voir des choses positives (donner pour recevoir bla-bla-bla).
Un des exemples le plus marquant pour moi est la science fiction. Si l’on écrit que des dystopie qui représentent un futur de merde avec un gouvernement totalitaire etc, à la longue on va finir par penser “à quoi bon, de toute façon c’est foutu”.
Alors qu’en écrivant, en inondant même, les différents médias de messages positifs, en créant des utopies merveilleuses, on peut potentiellement pousser vers ce futur et donc créer un avenir meilleur, ou en tout cas donner une raison de se battre pour.
Donc c’est un peu le même principe, ne lire/voir que du négatif entraîne de la négativité.
Du coup non merci, moi je veux du positif, une utopie à la Star Trek avec des petits papillons et des orgies romaines sous les platanes.
C’est surtout que je pars du principe qu’il faut être positif pour voir des choses positives (donner pour recevoir bla-bla-bla).
Un des exemples le plus marquant pour moi est la science fiction. Si l’on écrit que des dystopie qui représentent un futur de merde avec un gouvernement totalitaire etc, à la longue on va finir par penser “à quoi bon, de toute façon c’est foutu”.
Alors qu’en écrivant, en inondant même, les différents médias de messages positifs, en créant des utopies merveilleuses, on peut potentiellement pousser vers ce futur et donc créer un avenir meilleur, ou en tout cas donner une raison de se battre pour.
Donc c’est un peu le même principe, ne lire/voir que du négatif entraîne de la négativité. Du coup non merci, moi je veux du positif, une utopie à la Star Trek avec des petits papillons et des orgies romaines sous les platanes.
On est d’accord